Il semble que dans l’industrie de la lutte sénégalaise, les promoteurs se livrent à une véritable guerre pour attirer les meilleurs lutteurs dans leurs événements. Cette rivalité entre les promoteurs a récemment été mise en lumière par plusieurs incidents, tels que la dispute entre Jamaicain et Makane Mbengue pour engager Zarco, ainsi que la bagarre entre Fallou Ndiaye et Petit Productions.
Cette compétition intense entre les promoteurs pourrait bénéficier aux lutteurs, car elle pourrait conduire à une augmentation de leurs cachets. Les lutteurs pourraient tirer parti de cette rivalité en négociant des contrats plus avantageux, les rapprochant ainsi de la réalisation de leurs rêves financiers, comme celui de Katy Diop qui espère voir les cachets atteindre jusqu’à 500 millions.
Cependant, cette guerre des promoteurs pose également des défis et des questions sur la gestion de l’industrie de la lutte. Elle soulève des préoccupations quant à l’impact sur le sport dans son ensemble, ainsi que sur les lutteurs eux-mêmes, qui pourraient être pris au milieu de ces rivalités. En fin de compte, il est crucial de trouver un équilibre entre la compétition commerciale et le bien-être des athlètes pour assurer la pérennité et l’éthique de ce sport traditionnellement apprécié au Sénégal.
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